Alors comme ça vous vouliez avertir les Sioux ? Sales traitres !
- Ce n'est pas être traitre que de vouloir éviter un massacre, chacals !
La bibliothèque existe, même si ses ouvrages n'ont pas été écrits ni ne prennent la poussière sur ses étagères. La bibliothèque est en chacun de nous…il s'agit de notre esprit, frère Tobey.
Hélas les hommes ont perdu la capacité d'utiliser cet inestimable cadeau, empêtrés dans leurs dépouilles terrestres.Certains parviennent à retrouver leur MOI PRIMITIF dans des lieux éloignés comme ici, après de nombreuses années d'études et de méditation…
Où suis-je ? Qui êtes-vous ?
-Entre amis, mon frère, libère ton esprit des préoccupations terrestres !
—Mon Dieu, que c’est haut! Ne risquons-nous pas d’abîmer nos chapeaux ?
—Personne ne te demande de sauter sur la tête!
les hommes ont un mal fou a penser l,impensable.
pourtant l,histoire n,est faite que d,événements
qui semblaient impensables.
—Notre grand Shakespeare n’a-t-il pas dit : « Commérages et bandes dessinées sont souvent riches d’enseignements » ?
Tout le monde sait bien que tant que l'accident ne s'est pas produit, les risques augmentent... (p.36)
- Je ne suis donc plus la seule et unique héroïne !
- Je t'ai toujours dit, ma chère Jane, que tu étais ma drogue préférée... (p.18)
- Tout à fait incroyable !
- Mais non, Shakespeare a sûrement dit quelque chose là-dessus...
- En effet : "Le plus dur est fait". Reste encore le moins facile... (p.10)
Née en Sicile, la mafia était une sorte de justice privée s'opposant aux abus de l'occupation française.
Mais ce n'est peut-être qu'une légende. Ce qui est certain, c'est que la mafia est devenue une dangereuse organisation criminelle. De l'ancienne "honorable société" il ne reste que le vocabulaire : le parrain, la famille... On dirait aujourd'hui chef de bande ou gang. (p.7)
—Les vieilles traditions se perdent plus vite que jamais depuis que nous sommes entrés dans le marché commun…
- Plutôt mourir que de vivre en prison ! C'est défendable...
- Un autre système de valeurs. "De mortuis nihil nisi bene." Des morts, on ne dit que du bien.