Allison Colpoys

Un très joli album qui parle aux plus petits dés 2 ans jusqu'au grand de 7 ans et plus...sur la peur toute simple, l'anxiété paralysante du quotidien, sa façon de l'exprimer, de l'assumer, de la dépasser pour vivre de belles choses, tout simplement. le graphisme est à l'échelle du contenu, rempli de symbole psychologique, apaisant et rempli d'imaginaire.

Voici un joli album au graphisme vintage et coloré qui transmet le message rassurant de l'adulte sur l'enfant pour que celui-ci dépasse les petites peurs du quotidien. Une poésie pleine d'amour et de bienveillance que le lecteur se régalera de lire à voix haute pour un moment de tendresse avant le coucher. Le parapluie coloré présent discrètement dans chaque double page et situation sans être envahissant symbolise cette protection bienveillante. Un vrai coup de coeur pour les illustrations multicolores, gaies et colorées qui offrent une explosion de bonheur digne de.un formidable feu d'artifice du 14 Juillet !
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A l’école, il faut venir déguisé en animal sous-marin. Nathan a prévu son déguisement d’étoile de mer. C’est un beau déguisement et Nathan s’est même entraîné à marcher avec. Pourtant il est anxieux, exactement comme à chaque fois qu’il se passe quelque chose d’un peu exceptionnel et il ne sait pas si il trouvera le courage d’aller à l’école.



L’album, tout en douceur, présente un enfant tellement anxieux qu’il évite tout ce qui sort de l’ordinaire ou qui le met en avant. Je m’attendais à ce que Nathan aille quand même à l’école et y passe une bonne journée. Mais non, il ne se lève pas et sa maman l’emmène à l’aquarium.

Son anxiété est exprimée de manière très sensible. C’est très bien vu.

Les illustrations apportent à la douceur de l’album même si elles sont un peu fades à mon gout.

J’ai apprécié le « message » des parents : ils montrent à Nathan qui sa timidité n’est pas grave, qu’on ne peut pas facilement lutter contre. L’album finit sur une jolie touche d’espoir.


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Coup de cœur pour cet album jeunesse qui parle de deuil avec beaucoup de tendresse et de réserve.



Un livre tout en émotion avec des graphismes colorés et subtil qui valorise les mots et les accompagnent.



Une belle découverte.



Bonne lecture à tous.

Cet album est un océan de couleur pour parler d’un sujet très sombre.

Une petite fille dont le grand-père vient de mourir. Elle repense à tous ses souvenirs de lui, d’eux ensemble, des bons moments. De tout ce qu’il lui a transmis : ses histoires, son histoire, sa gaieté, ses jeux…

Comment se souvenir de lui ? comment le faire vivre encore ? comment surmonter la douleur ?



C’est une histoire de deuil évidement, mais aussi de tendresse, de famille et de transmission.



C’est un album qui aurait facilement être triste, mais qui se révèle avant tout lumineux et tendre car ses pages multicolores racontent le bonheur, le partage, la complicité et l’amour d’un grand-père et d’une fillette.
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Au rythme des saisons, nous suivons une petite fille et son grand-père : de longues promenades au printemps, une réparation d'un circuit acheté d'occasion en été, des dessins dans un cahier fait main en automne, de belles histoires au coin du feu en hiver...



"Mais il y a des histoires faites de silence"...



Alors on range les affaires et on retrouve ces précieux souvenirs...



Une histoire si douce sur l'amour entre un grand-père et sa petite fille, sur ces moments de joie et de partage vécus pendant l'enfance et qui deviendront un jour notre trésor, des souvenirs chéris dans lesquels on pourrait sans cesse se replonger. Je ne peux que recommander chaleureusement cet album, il est tout ce que j'aime délicat, bienveillant, délivrant un message subtil d'amour universel. Coup de cœur pour ce si joli album aux illustrations sublimes qui aborde le thème du deuil tout en délicatesse. Une pépite remplie de poésie, de tendresse, de couleur et de beaucoup d'amour

Allison Colpoys et Joseph Coelho nous parlent du lien qui unit une petite fille à son grand-père. Ils évoquent les bons moments mais aussi l'absence qui se crée lorsqu'un être aimé disparaît. Une absence qui n'est pourtant pas synonyme de vide car il reste tous les souvenirs auxquels on peut se raccrocher.



Un album jeunesse au ton juste et émouvant porté par des illustrations sublimes qui, personnellement, m'ont fascinée.

Le portrait d'une petite fille complice avec son grand-père : promenades, jeux, histoires... Mais quand ce dernier disparaît , comment continuer à vivre avec le silence ?



Un très bel album doux et triste qui aborde sans tabou et avec pudeur le deuil et l'importance des souvenirs qui font que l'on supporte un peu mieux l'absence.
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On a ici affaire à un album sensible et émouvant sur le deuil. Il est, paradoxalement, très lumineux et coloré, à l'image de tous les souvenirs qui remplissent le coeur de cette enfant. Ce bel album met en scène des personnages à la peau noire, ce qui est appréciable car pas si courant dans le paysage éditorial actuel, qui manque un peu de représentation (je trouve). J'ai beaucoup aimé cette histoire, illustrée avec talent, qui aborde le deuil avec poésie en s'appuyant sur les souvenirs d'une enfant. D'une grande tendresse.

Cet album est très poétique. Il parle d’un parapluie d’amour qui serait toujours là pour qu’un enfant s’y abrite. Les scènes montrées sont celles du quotidien. Le texte est très court, parfois une phrase, parfois un mot. Tout se réfère à l’amour que porte un parent à son enfant, ou qu’un être porte à un autre.

Les illustrations sont faites en crayon de couleur. Du orange fluo vient rehausser ces dessins. Parfois cela pique un peu les yeux. Cela ne gênera pas les enfants qui sont habitués depuis quelques années à ces couleurs très voyantes.

Je ne suis pas certaine que les enfants comprennent toute la symbolique de ce livre, mais les images les fascinent.

Il y a tout un cheminement et une histoire avant d'en arriver à cette petite incarnation vaillante du titre.



C'est un déguisement qui reprendra des lettres de noblesse aux yeux de ce petit garçon en voyant la vie autrement.

En effet, Nathan doit aller à une fête déguisée mais Nathan est timide, il lui arrive aussi, quand il n'est pas sûr d'assumer certaines situations à sa petite hauteur, d'avoir la boule au ventre, de faire les choses à reculons, de prendre la poudre d'escampette de façon figurée, de renoncer aux choses de façon concrète.

Les parents de l'histoire font, avec tact, psychologie et douceur avec la réserve de Nathan afin qu'il ne se rende pas malade de certaines situations qu'il n'assume pas encore.

Ce déguisement d'étoile des mer, pour lui, c'est la honte.

Les autres vont probablement se moquer de lui.

Il se porterait presque pâle pour l'anniversaire. Quel dommage, se dit-on à la lecture, quelle belle occasion de se faire plaisir.

Et pourtant...

Un petit tour à l"aquarium va changer sa vision des choses...

Sur la timidité donc, les petits complexes aussi évidement...Nathan va découvrir que les choses les plus délicates peuvent avoir un revers étonnant, comme les êtres humains d'ailleurs se dirait-on aussi à la fin de la lecture.

C'est très bien vu, également pour l'attitude des parents restituée ici, tendre, simple. Un rendu un peu rétro, mais non suranné, qui ne doit pas dissuader de le découvrir.

Un propos qui peut être décliné à plusieurs niveaux et correspondre aux filles comme aux garçons de ce fait.

Chouette!

Un album raffiné et doux pour un récit actuel au scénario ouvert. Un beau livre pour ouvrir le dialogue sur nos peurs ou le sentiment d’insuffisance qui peut saisir les enfants.
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Des illustrations à tomber et une histoire douce bien qu'endeuillée, sur l'après un grand-parent dont on a été très proche ...

La disparition du grand-père est explicite, on voit représenté son lieu de vie vide, une personne de la famille en pleurs ...

Cet album encourage l'enfant à conserver et cultiver les doux souvenirs plutôt que la fin de l'aventure.

Une belle lecture à faire pour préparer doucement l'enfant à l'idée de la mort comme une suite pour ceux qui restent et non une fin en soi.

Les saisons passent et on chemine. Une petite fille et son grand-père traversent les saisons, main dans la main, yeux dans les yeux. Et puis, arrive cette histoire “faite de silence”... La lecture elle-même prend un instant, le temps du rangement, de la prise de conscience de cette absence bien présente, qui devient souvenir. C’est d’une douceur infinie et c’est extrêmement juste. Je ne peux que recommander cet album tout en bienveillance, qui est porté par des illustrations magnifiques, chatoyantes et colorées. Elles nous rappelent qu’après la tristesse restent les souvenirs, bien au chaud derrière le cœur.

Saison après saison grand-père est là pour tour à tour me tenir la main, jouer au circuit de course qu'il m'a acheté, me fabriquer un joli cahier, me raconter des histoires du temps d'avant...



Une profonde inspiration. Tout commence par là. Nous savions dès la couverture que cet album allait nous toucher en plein cœur.

Bien que la perte d'un être cher soit bel et bien le thème majeur de cet album, il est ici abordé avec tellement de douceur et de poésie et surtout avec les mots d'une enfant ce qui lui donne cet impact tellement fort et toute sa sincérité.

La relation, qu'entretient cette petite fille avec son grand-père, est faite de bienveillance, de partage, de transmission et bien plus encore d'Amour. Toute la force de cette relation ressort lorsqu'au départ de son grand-père elle le fait revivre à travers ses souvenirs.



J'ai eu la chance d'avoir 2 grands-pères exceptionnels qui me laissent de doux souvenirs. C'est le cœur serré, les larmes aux yeux mais le sourire aux lèvres que j'ai lu cet album à mes p'tits loups pour leur montrer toute l'importance des moments partagés avec ceux que l'on aime. Ce sont nos joies d'aujourd'hui et nos doux souvenirs de demain.



Un album coloré et lumineux comme on les aime. Une véritable pépite 🌟 un immense coup de cœur ❤️

Voilà un bel album pour traiter le deuil. Notre petite protagoniste à la peau chocolat aimait profondément son grand-papa, avec qui elle entretenait une relation privilégiée. À travers ses mots qui bâtissent des images puissantes et remplie de beauté, la petite fille nous donne un aperçu de l'importance de son grand-papa dans son univers social, mais aussi de la place qu'il occupera encore quand il ne sera plus là.

Il est formidable de voir que le grand-papa encourageait sa petite-fille à stimuler son imagination, à cultiver sa curiosité et à nourrir sa créativité, notamment par la lecture et l'écriture. On n'a aucune difficultés à être convaincu de l'amour qui unit ses deux personnages grâce aux images fortes qui sont élaborés autant par les illustrations aux couleurs vives qu'aux mots.

On suit cette histoire en suivant les saisons, chacune avec ses couleurs et ses activités. Chacune ayant des raisons de se faire rapprocher les deux personnages.

Finalement, j'ai beaucoup aimé la présence de la culture indienne, exotique et colorée, et qui constitue un héritage laissé par le grand-papa à sa précieuse petite fille.

Un album touchant, remplie de poésie de de grands sentiments.

En tout cas, si le monde était ma bibliothèque, assurément il s'y trouverait!

Un album qui s'adresse à tous, un petit bijou indispensable qui incitera les enfants à partir à la recherche de leur propre don, garant de la confiance en soi.
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Voilà une jolie histoire autour du deuil, qui permettra aux plus jeunes d’y réfléchir en douceur et avec poésie.
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Un album qui décrit avec tendresse et poésie le lien d'amour indéfectible entre parents et enfants. Quoiqu'il arrive, les adultes de cette histoire répondent présents et offrent un écrin protecteur à leurs chères têtes blondes. Les illustrations vives et colorées expriment la vie dans tous ses états et le bonheur d'être aimé sous un p'tit coin de parapluie.
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A partir de 4 ans



Nathan est un petit garçon si pétri de timidité qu’il ne se sent pas capable d’assumer son rôle de capitaine étoile-de-mer pour le spectacle de fin d’année. Le début de l’histoire, qui traite avec sensibilité du poids de ses craintes est prometteur, souligné par de très jolies illustrations. Hélas, la fin déçoit, car le personnage n’affronte pas ses peurs et ne peut donc pas les dépasser (il n’y est pas encouragé par ses parents, très – trop ? - protecteurs) en ne participant pas au spectacle… Dommage.


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