AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Bibliographie de Alysia Torrance   (3)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (68) Voir plus Ajouter une citation
Elle prit une profonde inspiration dans l’espoir de se calmer. Allons, courage, n’avait-elle pas appris avec le temps à masquer ses angoisses et tirer le meilleur parti possible de toutes les situations ?
Commenter  J’apprécie          20
Le contact de la soie sur sa peau et l’idée qu’elle portait un string affriolant et un soutien-gorge assorti lui donnaient une sensation de séduction que le regard des hommes qu’elle croisait dans la rue ne démentait pas.
Sa confiance en elle était montée en flèche, et les deux ensembles très féminins ainsi que le maillot de bain qu’elle avait dans son sac n’y étaient pas pour rien. Bien sûr, Alec y était pour beaucoup, lui aussi, mais inutile de le lui dire ! Son ego n’avait pas besoin d’un tel remontant.
Commenter  J’apprécie          10
Elle avait l’impression que chaque nouvelle caresse la propulsait plus loin dans la volupté. Soudain, une vague de plaisir plus puissante que les autres monta en elle, tendant son corps comme un arc. Elle s’accrocha à la barre d’appui, se cambra pour mieux s’offrir, laisser le flux brûlant qui montait d’entre ses cuisses l’envahir tout entière. A travers sa vue brouillée par le plaisir, elle aperçut leur reflet dans l’un des miroirs. La vision d’Alec, agenouillé devant elle, qui maintenait ses cuisses écartées pour y enfouir la tête et lui procurer un plaisir qu’aucun homme ne lui avait donné, acheva de lui faire perdre la raison. Au moment où l’onde de jouissance explosa en elle, elle ferma les paupières, et poussa un long cri d’extase qui résonna dans le silence de la pièce. Avant que l’affolante sensation ne se dissipe, Alec glissa un doigt en elle, son pouce appuyé à l’endroit exact de la source de son plaisir, réussissant à prolonger l’apothéose magique. Elle resta immobile quelques instants, le temps que son souffle se calme, que son corps cesse de trembler. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ce fut pour découvrir Alec debout devant elle, qui la dévisageait.   -Je n’ai jamais... Enfin, personne n’avait jamais...   Les mots lui manquèrent. Il lui sourit. Un sourire tendre et chaleureux.   -
Commenter  J’apprécie          00
Elle jouait avec le feu en s’engageant dans une relation avec un homme tel que lui, et leur baiser enflammé était venu confirmer ce pressentiment. Malgré cette magie qui existait entre eux depuis le premier jour, rien ne l’avait préparée à une telle passion. La prochaine fois, ils ne pourraient se limiter à un simple baiser.
L’excitation courait dans ses veines, descendait, palpitante, entre ses cuisses. Elle avait envie de lui. Cela faisait si longtemps qu’il ne lui arrivait plus rien, et soudain, aujourd’hui, à sa grande stupéfaction, tout changeait : elle avait une liaison.
Rien ne l’y avait préparée.
Elle ne s’était jamais sentie aussi peu désirable que la nuit dernière, avec son uniforme vert de l’hôpital et ses cheveux en bataille. Et en un instant, il avait tout changé. Mais, ce soir, lorsque leur aventure commencerait vraiment, elle voulait être sexy.
Commenter  J’apprécie          00
Ces yeux émeraude pétillants de vie et d’intelligence ravagés par sa stupidité. Il avait vu le projecteur osciller, avait senti que le désastre était imminent. Il avait essayé de se dégager, de s’interposer entre elle et le danger, de faire rempart de son corps. Mais le câble l’avait retenu, l’obligeant à contempler avec horreur cette pluie de verre éclaté se déverser avec violence sur son visage.
A cet instant, il aurait donné, avec joie, sa vie pour la protéger. Tout comme il la donnerait encore. Mais son petit menton fièrement relevé le maintenait à distance respectueuse. L’épisode de la ceinture de sécurité signifiait qu’elle entendait prendre son destin en main. Et seule.
Commenter  J’apprécie          00
Hélas ! Dès la fin de la lune de miel, tout ce qu’elle aimait chez lui était soudain devenu insupportable. Il travaillait trop tard en comparaison des maris de ses amies ; il n’était jamais là quand elle avait besoin de lui ; il ne gagnait pas assez d’argent pour décorer à son goût leur nouvelle maison... Il est vrai qu’il n’avait pas les moyens de financer le train de vie de son épouse, dont l’une des occupations favorites était de faire les magasins avec ses copines. Sans compter que le luxe de la vie de Carolyn et de son mari, Mickaël, qu’elle ne cessait d’évoquer, lui montait à la tête.
Leur vie commune avait duré trois ans, trois années d’amertume au bout desquelles elle l’avait quitté.
Commenter  J’apprécie          00
Malgré l’intense plaisir qui venait de l’envahir, elle se sentait encore excitée, comme si un vide en elle réclamait toujours le contact d’Alec. Un vide qu’elle se promit de remplir, tout en procurant à Alec autant de plaisir qu’il venait de lui en donner...
Il la laissa l’aider à se débarrasser de sa chemise sans protester, son ego cédant de toute évidence la place à son désir. Puis, audacieusement, sans la moindre hésitation, elle déboutonna son jean et se baissa pour le faire glisser à terre avec son caleçon. En se redressant, elle put le contempler, dans toute sa beauté dénudée.
Commenter  J’apprécie          00
C’était elle, à présent, qui se faisait conquérante, séductrice, elle qui faisait glisser ses seins sur son torse, elle dont les hanches tanguaient, provocantes. Elle voulait tout connaître de lui, la douceur, le goût de sa peau, la forme de son corps que ses mains, son propre corps épousaient. D’un murmure,d’un soupir, elle jouait à le provoquer, et lui, comme un félin indolent et paresseux, semblait apprécier ce jeu et s’amusait à capturer entre ses dents les lèvres de la jeune femme, les pointes de ses seins, la chair sensible de son cou
Commenter  J’apprécie          00
A présent qu’il avait obtenu ce qu’il désirait, rien ne l’empêchait plus de prendre son temps... Rien, hormis son corps, qui se rebellait à cette idée, exigeant une satisfaction immédiate.
Mais, quoi qu’il lui en coûte, il s’obligerait à attendre. Il ne voulait pas laisser le désir entre Lanell et lui se consumer trop vite.
Que c’était dur de se séparer d’elle ! Les mains toujours sur ses épaules, les yeux plongés dans les siens, il but plus qu’il ne regarda ses pommettes rosées et ses lèvres humides qu’elle gardait entrouvertes.
Commenter  J’apprécie          00
Cet homme, cet appartement, cette alchimie entre eux - tout cela était trop merveilleux pour être autre chose qu’un rêve. Et elle était bien placée pour savoir qu’un rêve, ça ne se réalisait jamais.
Mieux valait donc reléguer son désir brûlant pour Alec dans le domaine des fantasmes et se mettre une bonne fois dans la tête qu’il n’avait pas sa place dans sa vie. Cela lui permettrait au moins d’affronter l’épreuve que représenterait le fait de vivre à côté de lui pendant tout l’été, et surtout de devoir le toucher.
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Alysia Torrance (6)Voir plus

Quiz Voir plus

Le Père Goriot

Dans quelle partie de la Comédie humaine s'inscrit ce roman ?

Scènes de la vie privée
Scènes de la vie de province

10 questions
1039 lecteurs ont répondu
Thème : Le Père Goriot de Honoré de BalzacCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}