Amanda Foody

All of us villains d’Amanda Foody et C. L. Herman publié chez Milan est un super roman à la croisée entre Harry Potter et la Coupe de feu et Hunger Games.



Très présent sur les réseaux sociaux, on m’avait vraiment vendu des personnages cruels et sadiques.



Attention au spoil : ils le sont, mais pas sans raisons.



J’ai adoré découvrir leurs histoires et comment leur famille et la société les ont façonnés et poussés à devenir des machines à tuer prêtes à tout prix.

Les personnages principaux sont tout en dualité et j’ai bien aimé ce côté non manichéen. Ce titre n’est pas aussi sombre que je m’y attendais mais finalement ça me va très bien comme ça !



L’action a mis du temps à démarrer mais pour une fois, ça ne m’a pas dérangée puisqu’on en apprend beaucoup sur l’histoire, le caractère et les ambitions des personnages.

Cependant une fois que le tournoi commence, les actions s’enchaînent et on a pas le temps de s’ennuyer. Les alliances, trahisons et révélations s’enchaînent jusqu’à la fin qui offre un gros cliffhanger.



J’aurais bien aimé qu’on puisse suivre l’histoire des points de vue des sept familles et pas seulement de quatre d’entre elles.

J’ai beaucoup aimé découvrir les personnages d’Alistair, d’Isobel, de Gavin et de Briony mais j’aurais également apprécié suivre Finlay, Carbry et Elionor de plus près.

Étonnamment, je pense que mon personnage préféré pour l’instant est Finlay, et ce même si nous n’avons pas directement son point de vue.



J’ai aimé les aspects politiques de ce livre puisqu’une victoire garantit à la famille gagnante le contrôle de la haute magÿe. Le fait que pour la première fois, cette compétition ne soit plus secrète et que le gouvernement s’en mêle m’a donc bien plu.



Le concept de magÿe avec les bagues est très intéressant et plutôt original et j’ai beaucoup aimé l’idée que même la magÿe a un prix et qu’il faut être prêt à le payer.



Le style est fluide et entraînant et les différents points de vue rythment le récit. Pas mal de questions restent sans réponses et c’est pour ça que j’ai vraiment hâte de lire la suite !

C'est un livre que je commençais sans savoir à quoi m'attendre n'ayant vu passer aucune review dessus, je me suis donc lancée sans apriori aucun dans cette lecture.

Nous suivons les pov de 4 personnages issus des grandes familles d'Ilvernath : Alistair, Isobel, Briony et Gavin.

Alistair est un ado assez taciturne qui s'est préparé toute sa vie pour le tournoi dans le seul but de rentrer chez lui pour retrouver son frère Hendry. Il est considéré comme le candidat le plus cruel par tous. J'ai trouvé le personnage très intéressant car le vrai Alistair est très différent de l'image qu'ont les autres candidats en tête, et les décisions qu'il prend pendant le tournoi sont surprenantes par rapport à ce qu'on pense en commençant le livre.

Isobel quant à elle est une candidate pleine de potentiel qui ne veut pas vraiment participer à ce tournoi mais qui va y trouver sa place grâce à une alliance surprenante.

Briony, est une candidate qui cherche à rester juste et droite, dans cette horreur et bien que ses pov me plaisaient moins c'est un personnage nécessaire au développement de l'intrigue.

Enfin Gavin, mon petit chouchou que tout le monde voit perdre en premier se voit obligé de mettre sa santé mentale et physique en jeu pour essayer de survivre au tournoi. J'ai vraiment beaucoup aimé les pov de ce personnage qui a soif de victoire et est prêt à tout pour cela.

La magie est intéressante, elle se présente sous forme d'anneaux-sorts de magyë commune, contenant un nombre limité d'utilisations et qui ont donc besoin d'être préparés au cours du tournoi afin de pouvoir se défendre et attaquer. La haute magyë est quant à elle beaucoup plus mystérieuse mais présente son lot de surprises.

Il y a une romance enemy to lovers assez sympa bien que je m'imaginais un autre couple ( à voir dans le tome 2 je ne perds pas espoir).

Les trahisons et alliances sont nombreuses et logiques malgré les motivations très différentes de nos "héros".

Je lirais donc le tome 2, dont la sortie approche !

Après un début difficile, car très introductif, et l’attitude de Barclay m’ayant légèrement agacé, j’ai adoré ma lecture ! 🥰



De l’aventure, des animaux fantastiques, des épreuves, les méchants vraiment méchant et ceux qui ne le sont finalement pas où les gentils qui deviennent méchants.



Bref malgré quelques intrigues que j’avais deviné j’ai passé un truc bon moment et j’ai enchaîné les 100 dernière pages d’un coup. 😁



La plume est très fluide et l’univers riche, la fin m’a donné très envie d’avoir la suite 🙏🏼

Très bonne découverte ! Les personnages sont complexes, évoluant dans un univers mêlant magie, famille, amitié et amour. Chacun s’avère bien différent de ce que la tradition de sa lignée attendrait de son comportement. Alistair, Briony et Isobel m’ont plu par leur complexité, mais j’ai eu plus de mal avec Gavin et Elionor.

Les jeunes lecteurs en quête d'aventures et de magie trouveront sans aucun doute leur compte dans cette nouvelle série fantastique ! Le premier tome des "Royaumes sauvages" est plutôt classique dans son intrigue, sa construction. Identité, amitié, rivalité, magie, animaux fantastiques… Les thèmes habituels sont présents et rendent l'intrigue plutôt prenante. Les lecteurs plus exigeants risquent cependant d'être un peu déçus. Les personnages tout comme leurs actions sont assez prévisibles. Heureusement, quelques rebondissements dans la deuxième moitié du roman viennent pimenter le tout.

𦙪vis lecture All of us vilains de Amanda Foody et C.L Herman aux éditions milan ♦



« C’est drôle, tu as passé des années à me raconter des histoires de montres. Mais le vrai monstre depuis le début c’est toi »



🌕Un tournoi, 7 Sept familles qui se battent pour remporter la haute magye jusqu’au prochain tournoi



Une belle découverte !



�ssez mitigée au début, la longueur de la mise en place de l’univers, les différents points de vue qui s’enchaînaient sans nous laisser le temps d’apprécier chacun des différents personnages, m’ont laissé dubitative 🤔



🌕 A la moitié du roman on note toutefois un enchaînement des actions.

Mais, je m’attendais lors du tournoi à voir des champions qui ont soif de sang et de vengeance mais les personnages sont plus nuancés,

🌕Le fait d’avoir 4 points de vue différents permet de se rendre compte que chacun d’entre eux est effrayé par ce qu’il se prépare.



🌕L’écriture est fluide et c’est un livre qui se lit rapidement. La fin est extrêmement bien amener on ne s’y attend pas du tout !

Il me tarde donc de découvrir la suite !

La lecture est passé vite, même si je n'ai pas aimé plusieurs point concernant cette histoire, le changement constant de personnages, un peu trop prévisible et clichés, j'ai quand même trouvée cette histoire intéressante, j'y ai pris du plaisir, puis je ne suis pas quelqu'un qui aime critiqué un livre, car je sais que l'auteur y passe du temps, de l'argent ect... puis je ne suis pas difficile en terme de livre, je l'ai aime tous, ce livre à une vibe de Hunger games en plus spiritualité .

🩸Le début était légèrement lent mais après j’ai été plongé dans l’histoire.

�’est un peu sombre mais pas trop car il ne faut pas oublier que c’est du YA!

J’ai bien aimé le système de magie et celui des sorts.



🩸On a 4 PoV mais c’est pas dérangeant et je trouve que tout les personnages sont bien approfondis et construits.

J’ai vraiment adoré les PoV de Alistair et Isobel.



�’ailleurs un ennemis to lovers fait son apparition au second plan bien sur, il est super bien fait !

Le plot de fin surtout genre j’étais là en mode non??

Bref il me faut la suite !

Il y a ces romans dont vous n’attendez pas grand-chose, et qui, au final, dépassent toutes vos attentes. Ç’a été le cas pour All of Us Villains. J’ai été transportée par l’ambiance sombre de cette fantasy YA, par ses plot-twists et ses personnages.



S’il est vrai que le début peut sembler assez long, que l’on est plongés dans le tournoi en lui-même au bout d’une centaine de pages (dans la version originale, ceci dit), ce n’est pas quelque chose qui m’a dérangé. Au contraire, j’ai aimé lire comment les quatre narrateurs – Alistair, Gavin, Isobel et Briony – se préparaient en tant que champions.



Comme je l’ai dit un peu plus haut, j’ai adoré l’ambiance. Certes, ce n’est pas aussi sombre qu’on pourrait l’espérer, surtout quand on nous promet une malédiction qui force sept personnes à s’entre-tuer jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le vainqueur, mais il s’agit après tout d’une fantasy young adult, alors le sang ne peut pas couler à chaque page. Justement, j’ai trouvé le concept de la malédiction super intéressante : tous les vingt ans, depuis huit-cents ans, un membre des sept grandes familles d’Ilvernath s’affrontent pour obtenir le contrôle de la high magick. Il subsiste autour de ce sort une zone d’ombre qui, je l’espère, sera éclaircie dans le tome suivant.



Justement, j’ai beaucoup aimé le système de magie. J’ai trouvé ça orignal que les sorts puissent être achetés en magasin, ou fabriqués à la main et stockés dans des pierres. Ça m’a un peu fait penser à de la sorcellerie.



J’ai d’ailleurs trouvé que les personnages collaient vraiment à l’ambiance. Ce ne sont pas des héros, loin de là. Puisqu’ils sont moralement gris, ils suivent leurs propres ambitions. Ils complotent, s’allient – et se trahissent. Malgré tout, j’ai trouvé que les personnages secondaires étaient assez creux. J’aurais aimé en savoir plus sur les sept grandes familles et leurs secrets familiaux.



J’ai aimé lire l’évolution des quatre narrateurs. Si chacun a un but bien précis quand il entre dans le tournoi, au fil du récit, leur perception de la compétition change. Que se soit Isobel, Briony, Gavin ou Alistair, ils ont tous une psychologie complexe – même si je dois avouer que ma préférence va à Alistair. Décrit par tous – et par lui-même – comme le grand méchant du tournoi, c’est finalement un personnage très nuancé, et probablement celui qui change le plus durant le récit. Je reste d’ailleurs assez sceptique quant à sa relation avec Isobel, personnage avec lequel j’ai eu le plus de mal.



Honnêtement, je ne comprends pas pourquoi les avis sont aussi mitigés. Beaucoup se plaignent que ce n’est pas assez sanglant, que les personnages ne sont pas assez méchants. Mais, je me répète, c’est de la fantasy YA. Et j’ajouterai aussi que l’édition que j’ai lue ne fait que 386 pages, contrairement aux 500+ de la VF. Alors, quand certains se plaignent d’un début particulièrement long, qui fait plusieurs centaines de pages, ce n’est en rien la faute des autrices, mais de la ME qui a traduit le roman en VF.

7 grandes familles maudites, qui, à chaque nouvelle lune de sang, doivent fournir un champion qui se battra jusqu’à ce qu’il soit le seul survivant.

Le gagnant permettra à sa famille d’obtenir les pleins pouvoirs sur la haute magye jusqu’au prochain tournois.



Dans ce premier tome, nous suivons 4 points de vue, celui d’Alistair, d’Isobel, de Briony et de Gavin qui font partie des champions du prochain tournois.



J’ai beaucoup aimé ce changement de personnage car cela permet de comprendre et de ressentir ce que chacun pense de ce tournois. Et on se rend vite compte que les apparences peuvent être trompeuses…



Pour ma part, j’ai eu un gros coup de coeur pour le personnage d’Alistair qui a mauvaise réputation à cause de l’image qu’on les habitants de sa famille. ❤️‍🩹

Mais derrière cette noirceur, se cache un jeune homme traumatisé.



Gros coup de coeur pour cette vie à la Hunger Games et j’espère voir davantage le côté « vilain » dans le second tome ! ❤️
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J’ai commencé ce roman sans attentes particulières et je dois dire que j’ai eu beaucoup de plaisir ! Du départ à Mornebourg (si bien nommé) jusqu’à la ville de Sycomore, capitale des gardiens des Légendes des Bois (et puisqu’il existe six royaumes sauvages, je parie qu’on n’est pas au bout de nos aventures), en passant par les épreuves de la Foire (où manipulation et mensonges se disputent le haut du panier), on ne s’ennuie pas.
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Ce premier tome m'a complètement captivé avec son univers magique et ses personnages authentiques. Les champions des familles fondatrices d'Ilvernath sont à couper le souffle - ni tout blancs, ni tout noirs, mais incroyablement nuancés, rendant l'histoire impossible à prévoir !



L'alternance entre les différents champions nous permet de voir les choses sous différentes perspectives, et on ne peut s'empêcher de s'attacher à chacun d'eux malgré leur côté sanguinaire. Les secrets personnels et familiaux les rendent d'autant plus intrigants !



La Magye, omniprésente dans le tournoi, ajoute une touche vraiment stylé au récit. J'ai été totalement absorbé par la mythologie magique mise en place, avec ses sorts, ses conséquences et ses mystères.



Les rebondissements vers la fin du roman m'ont laissé bouche bée, et j'ai ultra hâte pour découvrir comment l'histoire va évoluer dans le tome 2 !



"All of Us Villains" est un savant mélange entre "Hunger Games" et "Shades of Magic", une aventure palpitante que je recommande chaudement à tous les amateurs de fantasy !

Magnifique roman en édition relié. Un beau travail de réalisation et de marketing. J'ai hâte de voir les prochains tome à venir.

Un roman à quatre mains dont j'ai pris plaisir de lire. Une belle dark aventure. Je me suis passionnée pour les différents personnage et l'intrigue. Je regrette seulement les quelques longueurs de ce premier tome.

Dans All of us villains, nous suivons 7 champions issus des familles d’Ilvernath. 7 champions destinés à se battre jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un, pour décider quelle famille aura la main mise sur la haute magÿe. Avec un tel résumé on pense évidemment à Hunger Games, titre qui est d’ailleurs cité en comparaison lorsqu’on parle de All of us villains. Alors oui, j’y ai retrouvé des jeunes qui se battent, mais c’est si différent cependant.

On suit 4 des 7 personnages, Alistair, Isobel, Brionny et Gavin. Chacun a son caractère, sa manière d’appréhender le tournoi et son talent en magÿe. Je me suis attachée à chacun d’eux, avec nuances cependant mais tout de même. L’écriture est tel qu’on est enveloppée par leur histoire et que je n’ai pas pu m’empêcher de me plonger corps et âme dans cette aventure. Le but ici est de contrôler la haute magÿe, chaque personnage ressent la pression familiale, le fardeau qui se transmet de génération en génération. Et chacun a sa manière de pallier cela.

C’est ce que j’ai apprécié, les nombreux rebondissements et les alliances toujours justifiés. On est ici au cœur du tournoi, et les personnages semblent réellement tiraillés et c’est ça qui rend le tout très naturel !

L’intrigue est bien menée et, peut-être suis-je naïve, mais je n’avais pas vu venir ce dénouement à la fin de ce premier tome. Ce qui me donne évidemment encore plus envie de lire le tome 2 (dont j’attends maintenant la traduction avec impatience).



Comme toujours, je craque pour des romans fantasy dont l’univers est bien développé. C’est pour cela que All of us villains peut être applaudi, l’environnement magique est bien expliqué ! On ne se perd pas à travers des dizaines de noms et de concepts, les deux autrices savent suivre le fil rouge et c’est ce qui fait qu’on peut autant se plonger dans ce roman, on est tenu du début à la fin.

Seul bémol peut-être, j’aurais aimé plus, plus de sang, plus de violence, plus d’horreur. Bien qu’il y en ait déjà, notamment avec les meurtres de certains champions, j’aurais aimé ressentir plus d’émotions dans les combats magÿques.



Je remercie Babelio et les éditions Milan pour l’envoi de ce livre dans le cadre de la Masse Critique gratuite.

Je tiens à remercier l'équipe de Babelio pour l'organisation des masses critiques et pour l'envoi de ce roman jeunesse.



Ce roman est à destination des enfants entre 8 et 12 ans je dirais. Le ton est résolument jeunesse mais cela ne m'a pas dérangé car la plume est de qualité, addictive et fluide.



Le ton et l'humour sont très malicieux. L'univers est parfois loufoque (petit clin d'oeuil au village de Mornebourg) mais il reste assez dense et intéressant. L'autrice a créer un bestiaire original qui ne manque pas de titiller notre curiosité. La plume est assez visuelle sans pour autant plonger le lecteur dans de grandes descriptions.



La trame narrative est certes classique (on est bien dans un récit initiatique) mais elle nous propose une belle évolution pour le personnage principal et les personnages secondaires qui ne sont pas en reste.



J'ai beaucoup aimé ce roman qui m'a valu un premier coup de coeur pour 2023. Il me tarde de pouvoir lire la suite en octobre 2024 !
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Merci à la Masse Critique Babelio pour cet envoi ainsi qu’à la maison d’édition. Quelle claque cette lecture ! J’avoue avoir un penchant pour les histoires de tournoi/compétition et j’ai été servie. J’ai trouvé cette lecture très originale qui m’a un peu fait penser à des Hunger Games entre magiciens. La différence notable entre les Hunger Games et ce tournoi est que les champions des 7 familles sont volontaires pour y aller afin d’apporter gloire et pouvoir à leurs familles respectives. De ce fait, les différents champions se connaissent pour la plupart ce qui rajoute du challenge pendant le tournoi.



J’ai beaucoup aimé le côté très immersif du roman avec un huis clos très bien mené par les autrices, la plume globale du roman est extrêmement fluide. Ce que j’ai principalement apprécié c’est l’alternance de personnages entre les différents chapitres. Ainsi, on alterne entre les champions des familles : Lowe, Thorburn, Grieve et Macaslan. Cette alternance de personnage est pour moi le second réel atout de ce roman après la mythologie de base. En effet, chacun des champions a évidemment des secrets personnels et/ou de famille à cacher ce qui fait que nous les voyons différemment entre les chapitres (avec leurs perspectives ou celles des autres). C’est pourquoi on se prend d’affection pour chaque champion malgré le côté sanguinaire de chacun (il ne faut pas oublier qu’ils sont volontaires pour aller dans ce tournoi et tuer les 6 autres concurrents). Au fil des pages il y a évidemment d’autres rebondissements qui permettent également de changer d’avis sur tel ou tel personnage, c’était vraiment très intéressant.



Le tournoi en lui-même est passionnant ! Les autrices nous distillent des informations et les règles du tournoi avec une précision très importante, ce qui permet réellement de comprendre tous les tenants et les aboutissants qui nous amènent à la fin du roman. Le troisième gros côté positif, c’est bien entendu la Magye. En effet, celle-ci est ultra présente avant et pendant le tournoi, rendant parfois compliqué la progression des personnages vis-à-vis des autres. J’ai beaucoup aimé la mythologie mise en place sur la source de cette Magye, ses conséquences, les sorts, les méthodes de préparations des sorts, leurs utilisations… J’imagine que dans le second tome nous auront encore d’autres détails car certains éléments restent en suspens.



La fin n’est pas réellement une fin car le tournoi n’est pas fini à la fin du roman. Cependant, il y a beaucoup de renversement de situation vers la fin du roman, souligné par les chapitres de chaque personnage de plus en plus courts car il y a beaucoup d’actions en parallèles. La suite promet d’être explosive vu la fin de chaque chapitre par personnage !



En bref, un excellent tome 1 à la croisée de Hunger Games et de Shades of Magic, des personnages hauts en couleurs qui ont chacun leur place à part entière dans la narration, des évènements qui s’enchainent à vitesse V et une mythologie du roman mise en place à la perfection. Vivement le deuxième et dernier tome !
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Cette histoire n’est pas sans rappeler « Hunger Games » à la différence que celle-ci est plus accès sur un genre fantasy que science-fiction de plus le style de l’écriture et je pense un peu en dessous de celui de « Suzanne Collins ». Cela n’a pas empêché une très bonne lecture même si j’ai trouvé le récit un peu long à se mettre en route. Le début du roman nous présente quatre des sept champions qui seront tour à tour les narrateurs nous exposant leurs souvenirs, leurs angoisses et leurs motivations. C’est bien entendu une histoire assez sombre qui nous est décrite mais là encore je la trouve pour l’instant moins violente que ce que le résumé laissait imaginer. Dans l’attente de second tome.

Avant tout, je dois dire que je suis incontestablement émerveillée par le travail éditorial de ce livre. Non seulement le roman en relié est superbe avec sa couverture, mais le jaspage et les illustrations au niveau des entêtes des chapitres sont, également, épurées et très agréables durant la lecture. C’était un réel plaisir de découvrir cette histoire à travers cet esthétisme.



Ce roman de fantasy me tentait énormément par la dark academia intégrée et je n’ai pas été déçue du voyage puisque j’ai découvert un univers sombre, mystérieux et très intrigant. Nous avons des scènes, parfois, très explicites sur les combats, qui permettaient de réellement s’imprégner du récit et d’avoir l’impression d’y être, avec chacun des personnages.



Je dois vous avouer que je n’ai pas été convaincue par les deux cents premières pages de cette histoire, car j’avais beaucoup de mal à distinguer chaque personnage, à m’intégrer au récit, et à m’habituer aux plumes des autrices. Une fois toutes ces difficultés passées, vers les deux-tiers du roman, j’ai passé un moment incroyable et j’attendais impatiemment le moment où je reprendrais ma lecture.



Les plumes et l’imagination des autrices m’ont épaté, surtout durant la fin de ce premier tome. Malgré le récit à la troisième personne, j’ai réussi à m’imprégner des caractéristiques de cet univers et à m’attacher à certains personnages. Je pense, notamment, à Isobel et Alistair qui m’ont touché par leur rapprochement et leur évolution. Bien sûr, d’autres protagonistes ont su sortir du lot, comme Briony ou encore Gavin.



Les points de vue alternés peuvent être déroutants, mais une fois qu’on s’y habitue, c’est un plaisir de retrouver chacun des personnages, de comprendre leur fonctionnement ainsi que celui de l’univers en question. J’étais réellement obnubilée par le tournoi et Ilvernath, car cela me faisait fortement penser à Hunger Games et ce n’est pas pour me déplaire.



Même si je n’étais pas totalement ancrée dans ce récit, durant les premiers chapitres, j’ai apprécié ma lecture et j’ai hâte que le second tome de cette duologie soit publiée pour avoir les réponses à toutes mes questions et voir jusqu’où les personnages iront… Car cette fin est juste épatante et inattendue ! Bien évidemment, si vous aimez l’aspect dark academia, la fantasy ou encore Hunger Games, alors ce premier tome est fait pour vous.


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Il faut savoir que ce livre m’obsède depuis un moment. Je voulais absolument le lire en VO, je lisais même ses citations en boucle. Mais quand j’ai su qu’il allait sortir en VF, j’ai résisté de toutes mes forces pour attendre la sortie. Ce livre contient absolument tout ce que j’aime : des personnages ni gentils ni méchants, mais morally grey, de la magie, du suspense, de la tension, des ships slowburn / enemies to something.



L’histoire contient quatre points de vues, celui d’Alistair, d’Isobel, de Gavin et de Briony. On suit d’abord les protagonistes lors de leur préparation pour un tournoi où certains sont persuadés de mourir, puis ensuite à travers ce fameux tournoi. Ce qui est affreux, c’est qu’on s’attache forcément à eux. Ils ont tous un caractère assez fort et des douleurs plus profondes, des problématiques touchantes. Alors, on s’y attache forcément, même si on sait qu’ils vont se lancer dans un tournoi où ils risquent leur vie et que ça fait mal. Je me suis surprise à avoir peur à plusieurs moments de ma lecture, parce que je ne voulais vraiment pas les perdre. Les autrices ont très bien réussi à montrer l’ambivalence des personnages. Durant toute leur vie, on les a bercés d’histoires affreuses et on les a conditionnés pour être des tueurs/des victimes dans un tournoi contre lequel ils ne peuvent rien faire. S’ils ne veulent ni tuer ni mourir, ils sont tout de même persuadés qu’ils n’ont pas le choix et que leurs sentiments ne font que les rendre faibles.

Vraiment, j’ai eu l’impression de lire un Hunger games avec de la magie, où 90 % des personnages donnent envie de les protéger (je retire 10% parce que je déteste un.e participant.e du tournoi, je ne dirais pas qui mais argh).



Si je devais donner un défaut, ce serait peut-être un petit manque de profondeur à certains moments. Enfin pas vraiment, mais j’ai eu l’impression que les protagonistes étaient parfois trop gentils, malgré l’horreur du tournoi. Ça ne m’a pas non plus dérangé, mais je l’ai remarqué à plusieurs reprises.


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Plongez-vous dans un tournoi meurtrier où sept familles se combattent depuis des générations sans pour autant avoir réussi à briser la malédiction.

Dans ce premier tome, nous découvrons à tour de rôles chaque futur champion nominé par leur famille pour le tournoi d'Ilvernath afin de les connaître dans les moindres détails et de découvrir leur plus sombre facette.



Le début est un peu long car les auteurs prennent leur temps pour installer la tradition et l'univers en exploitant la personnalité et la particularité de chaque famille. Il faut donc atteindre la moitié du roman pour que le tournoi commence.



Seulement, aucun champion (ou presque) n'a envie de commettre des meurtres pour gagner et certains champions n'ont pas été sélectionnés comme prévu remettant alors en cause le tournoi. Il ne se présente pas du tout comme les autres années et cela pourrait tout remettre en question...



Les champions réussiront-ils à briser la malédiction ? Et à quel prix ?



En bref, un début un peu long et une fin complètement déroutante parsemée d'une multitude de révélations et de rebondissements, nous laissant bouche-bée pour connaître la fin ultime du tournoi au prochain épisode...