La peur s’infiltre au point qu’il lui devient presque douloureux de simplement avaler sa salive. La nausée ne le quitte pas, même si son estomac est désormais vide. Les bouffées de chaleur sont si fortes qu’il jurerait que sa peau est brûlante, tandis que les sueurs froides qui leur succèdent l’obligent à vérifier trois fois, dix fois, vingt fois, que ses vêtements ne sont pas imbibés de transpiration.