Le diabète, c’est comme jouer au funambule en permanence. Marcher sur une corde bien raide, et savoir que vous aurez beau avancer du mieux que vous pourrez, vous n’arriverez jamais à l’autre bout, parce que vous êtes condamné à faire l’équilibriste jusqu’à votre mort. Y aura pas de répit, pas de rémission, pas de guérison. C’est ça, vivre presque normalement ? Osciller vingt-quatre heures sur vingt-quatre entre l’hypoglycémie et l’hyperglycémie ?