Carriès multiplie les recherches empiriques d'émaux, prenant pour modèle la céramique d'Extrême-Orient, et faisant tenir à ses ouvriers des cahiers de "recettes" dans lesquelles il se perd lui-même. Un temps, il engagera un chimiste de la Manufacture de Sèvres pour y mettre un peu d'ordre. Il trouve bientôt des émaillages rares : effets de peau de requin, coulures aléatoires, rehauts d'or et d'argent.