Que s’était-il donc passé ? Comment à l’enthousiasme des belles années avaient succédé l’indifférence, la fatigue et, peut-être, le dégoût ? Visiblement ces gens-là ne voulaient plus entendre parler du Tribunal révolutionnaire et se détournaient de la guillotine. Devenue trop importune sur la place de la Révolution, on l’avait renvoyée au bout du faubourg Antoine. Là même, au passage des charrettes, on murmurait. Quelques voix, dit-on, avaient crié : « Assez ! »