De fait, il m'arrive de penser que ce qui manque à Beethoven, de mon point de vue, ou ce que je n'arrive pas chez lui à percevoir, c'est une certaine dose de féminité, c'est le mot qui bizarrement me vient (j'ai le même sentiment quand je lis Balzac ou Hugo, que je ne lis plus guère), comme s'il restait prisonnier d'une humanité trop exclusivement masculine pour ne pas se prendre au sérieux, pour n’être pas quelque peu prétentieux ou pesante, voire dominatrice ou brutale...