Après les premiers arbres, c'était autre chose que de l'ombre, une lumière nouvelle, des milliers de lieux pleins de douceur. On savait soudain que la profondeur n'avait pas de limites.
[André DHÔTEL, "Le Mont Damion", Gallimard, 1964, réédition Phébus collection "libretto", page 37](extrait choisi par Aude Préta-de-Beaufort en son article "La religion d'André Dhôtel" de l'ouvrage collectif "Lire Dhôtel", pages 143-158, sous la direction de Christine Dupouy, Presses Universitaires de Lyon, 2003, 190 p.)