Certes il ne s'agissait pas d'un bois ordinaire. Roger demeura un long moment immobile. Il avait presque peur d'une telle beauté et cependant il se sentait attiré par cette lisière à la fois obscure et brillante. Il voulut à tout prix entrer dans le bois [...].
[André DHÔTEL, "le Bois enchanté et autres contes", Hachette, 1983, page 17] (extrait de l'article "La traversée de la forêt", cité par Marie-Pierre Meynet-Devillers, "Les lieux d'André Dhôtel", "Cahiers André Dhôtel" n°4, publication de La Route inconnue", association des amis d'André Dhôtel, année 2006, page 109)