Qu'est-ce qui peut passer et qui n'existe pas ? Le malheur, c'est qu'on trouve une réponse à une telle question, car on en revient toujours à la beauté impalpable dépourvue d'origine ou de raison, c'est-à-dire une idée pure qui s'impose sans la moindre hallucination.
[André DHÔTEL, "Lorsque tu reviendras", éditions Phébus, collection "Domaine romanesque", 1986, 192 pages]