Nous vivrions dans une sorte d’Éden où ne fleuriraient que les bonnes manières, le bourreau serait au chômage et les cours d’Assises en éternelle vacation. Il n’y aurait plus que de bons fils, de tendres pucelles et de rougissantes fiancées. La guerre ne serait plus qu’une bataille de fleurs ou peut-être jouerait-on la victoire à la pétanque.