Et il m’a semblé que tout s’était déjà joué pour moi, qu’en dehors d’un miracle rien ne changerait plus dans mon avenir. Rien de bon ne pouvait m’arriver désormais. Finis aussi les promesses et les choix, et finies les victoires ! J’étais engagé sur la pente, j’avais franchi quelques-unes des portes que l’on ne repasse jamais plus et j’ai cru commencer devant ce miroir la définitive solitude.