La prudence des médecins m'exaspère. Parler avec eux, c'est comme quand on téléphone avec un portable et que tout à coup il n'y a plus de réseau. On se retrouve à parler tout seul. Ils vous laissent déverser votre trop-plein, poser des questions dont vous redoutez la réponse, afin de vous faire accepter la situation petit à petit tout en vous délivrant le minimum d'information.