C’était l’époque bénie de l’insouciance, et elle en avait profité autant qu’elle avait pu. Ça s’était gâté par la suite, quand elle avait entamé des études supérieures qui lui laissaient beaucoup moins de loisirs. Malgré toute sa bonne volonté, elle ne rendait pas visite à sa grand-mère aussi souvent qu’elle le souhaitait. La réalité du monde du travail l’avait rattrapée comme elle avait rattrapé sa mère avant elle.