Dressant sa petite tête rasée sur son cou mince et fragile, Rêka considéra les abricotiers, la véranda, Carignano. Elle écouta le vent siffler dans les pins et les cigales striduler inlassablement au soleil (...)se dit que c'était la première fois qu'elle entendait le bruit du silence. (p. 66)