Pour une esclave, devenir concubine d’un berserker représentait une chance inouïe.
Elle apprendrait à l’aimer. Il en était certain.
Un jour, peut-être même lui rendrait-elle ses baisers avec une fougue égale à la sienne, sans donner l’impression de subir ses élans de tendresse… Sans serrer les dents ni fermer les yeux.
Ce n’était qu’une question de temps.