Je me réconcilie avec une médecine qui ne veut plus m'obliger. C'est moi qui déciderai du jour où nous nous reverrons.
Ce que font mes passeurs de vie les grandit. Ils affirment sans se cacher ni culpabiliser, la liberté de l'homme qui la réclame. Et ma fureur s'estompe.
Je lâche prise, redeviens moins dure, moins exigeante envers moi-même.
Une réminiscence de joie de vivre au cœur de l'orage. p.142