J'ai rencontré mon patron, le shérif Virgil Wolfgard. C'est une chose que de se préparer psychologiquement à se faire harceler et chambrer par ses collègues pour une stupide raison d'équipement anatomique ; c'en est une autre de se sentir lorgné par son supérieur comme si on était un plat appétissant. Il avait apparemment plus besoin d'un assistant que d'un repas, car il m'a donné un badge flambant neuf et une arme.