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Citations de Anne Bishop (235)


La région du lac d'Etu risque de connaître une certaine agitation. Je vous conseille de faire attention lors de votre voyage.
- En remuant le contenu de la casserole, on fait remonter ce qui est caché au fond à la surface, (...).
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Ne te laisse pas berner par les rues goudronnées et les commerces, Wayne. Ici, c'est les espaces sauvages. Nous sommes tous des proies.
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- Un matin, tu devrais venir poser quelques lignes avec moi dans la rivière.
- Pourquoi ?
- Pour ne rien faire tout en donnant l'impression de faire quelque chose.
- Ah ! C' est la meilleure raison de pêcher que j'ai jamais entendue.
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Ce n'est qu'en volant vers le Patchwork qu'elle se rappela que, dans les thrillers qu'elle aimait lire, " se débarrasser" signifiait généralement "tuer".
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Tout en courant, je me promis de faire plus d'exercice physique si je survivais. Si je mourais, bien évidemment, cette bonne résolution perdrait tout son intérêt.
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D'après nos observations, les humains ont une fâcheuse tendance à croire qu'ils peuvent répéter les actions de leurs prédécesseurs sans subir les mêmes conséquences, commenta Ilya.
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Il ralentit le pas en voyant son visage. Elle paraissait contrariée et en colère. D'après son expérience, une femelle contrariée et en colère était une femelle dangereuse.
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Vu le nombre d'animaux de compagnie, comme elle les appelle, qui ont besoin d'un foyer, ou en tout cas de quelqu'un pour s'occuper d'eux, elle a suggéré de donner un chien, un chat ou un oiseau à tous les nouveaux résidents en guise de cadeau de bienvenue. J'essaie actuellement de la convaincre de renoncer à cette idée sans lui dire que ces nouveaux arrivants terra indigene risqueraient de croire qu'elle leur offre à dîner.
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Les mots font autant de mal que les coups. Ils peuvent laisser de profondes cicatrices qui ne disparaissent jamais. Et parfois, ils tuent.
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Il ne se faisait aucune illusion : les autres ne considéraient pas les humains comme des alliés, encore moins comme des égaux. Pour eux, ce n'était rien de plus que de la viande intelligente.
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- C'étaient des intrus. Des voleurs. De mauvais humains. Ce n'est pas comme si on avait mangé l'un de ses amis.
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- Tu as de grandes dents, chuchota-elle quand elle reporta son attention sur lui.
- C'est pour qu'on les sente quand je mords, grogna-t-il en se penchant sur elle.
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Les Sanguinati formaient de fait une sorte de comité de surveillance de quartier, sauf qu'au lieu d' arrêter les malfaiteurs ou de les sanctionner avec d'une amende ils s'en nourrissaient, prélevant apparemment une quantité de sang proportionnelle à la gravité du crime commis.
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- Tous les prix augmentent, se plaignait l'un d'eux. Il n'y a que les salaires qui stagnent.
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Sur le mur contigu était accrochée une pancarte sur laquelle il était écrit : "Payez vos livres avant d'entrer à Bon à Croquer, sinon c'est vous qui serez bon à croquer". De l'autre côté, un second panneau annonçait : " Bien sûr que vous pouvez garder cette tasse. Nous garderons simplement votre main en échange".
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Les Autres regardèrent les humains et ne virent pas des conquérants. Ils virent une viande d'un genre nouveau.
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Les humains se critiquent sans cesse, surtout quand la personne qu'ils...picorent avec leurs mots n'est pas là.
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Simon pénétra dans la salle de tri et pointa la porte du pouce en regardant Nathan.
— Dehors.
— Je monte la garde, protesta Nathan en montrant les crocs.
— Je veux lui parler. Va à côté. Tu reviendras quand j’aurai terminé.
Le Loup s’exécuta à contrecœur.
Une fois seul avec la femelle qui le plongeait dans la confusion, Simon se pencha sur elle de manière à sentir son souffle sur son visage, humer son odeur.
Elle exhalait des effluves de douleur teintés d’une excitation étrange qui lui donna envie de renifler son entrejambe. Elle sentait également le sang et les médicaments que Tess avait appliqués sur sa plaie. Il éprouva le besoin soudain de flairer la blessure, d’en faire disparaître les produits humains et de la nettoyer à la manière d’un Loup.
Mais Meg était humaine ; la médecine humaine lui conviendrait mieux.
— Je sais que tu ne dors pas, chuchota-t-il. Tu ne peux pas berner quelqu’un qui t’a entendue dormir.
— Tu veux dire que je ronfle ? demanda-t-elle, les yeux toujours fermés.
— Non, répondit-il avant de réfléchir un instant. Je ne crois pas. Mais je sais quand tu dors.
Elle déglutit. Elle avait une gorge si appétissante, douce et ferme à la fois.
Non, se morigéna-t-il en pressant son front contre le bras de Meg. On ne peut pas la mordre.
Il leva la tête et sonda les yeux gris à présent posés sur lui.
— Je suis le chef. Tu aurais dû m’appeler. Même si tu préférais la présence de Tess à celle d’un Loup, tu aurais dû m’en parler d’abord.
— Je savais que quelque chose clochait. Je ne voulais pas qu’il arrive quoi que ce soit pendant que je me disputais avec toi.
Elle marquait un point. Mais il se garderait bien de le lui dire.
Il effleura ses cheveux. Ils avaient toujours cette teinte étrange, d’autant plus voyante que les racines étaient à présent noires. Quand ils pousseraient, il regretterait cette couleur orange.
Ça non plus, il ne le lui dirait pas.
— Je m’occupe des livraisons, lui assura-t-il. Repose-toi. Il y a de la nourriture. Tu veux manger ?
— Pas maintenant. (Elle ferma les yeux un instant, puis les rouvrit.) Est-ce que Nathan est en colère contre moi ?
— Oui. Si tu le tiens à l’écart encore une fois, il te mordra.
Un furtif sourire passa sur les lèvres de Meg.
— Je parie qu’il ne le fera pas si je lui dis qu’il peut avoir tous les biscuits qu’il veut.
Il resta un moment à l’observer, à l’écouter. Elle dormait vraiment. Il l’embrassa sur le front et trouva ce baiser plaisant en soi. Et aussi pour d’autres raisons, admit-il en se léchant les babines. Il n’avait pas le droit de croquer Meg, mais elle avait vraiment bon goût.
Il échangea sa place avec Nathan. Tout en observant Jester remplir les paniers de courrier et expliquer aux poneys pourquoi ils ne recevraient aucune friandise, il composa le numéro qui ramènerait Crispin James Montgomery dans l’Enclos.
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« Simon, c’est Meg. Je m’apprête à fermer le bureau et… Ce n’est pas la première fois que tu t’absentes, mais cette fois c’est… différent. Vide. Je ne sais pas. Je veux que mon ami revienne. Je vais chez Merri Lee pour regarder des films qui font pleurer, mais je préférerais me cacher derrière toi pendant un film d’horreur. Quand tu es là, je ne vois plus trop ce qui est effrayant. Bon, à bientôt. »
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J'ai rencontré mon patron, le shérif Virgil Wolfgard. C'est une chose que de se préparer psychologiquement à se faire harceler et chambrer par ses collègues pour une stupide raison d'équipement anatomique ; c'en est une autre de se sentir lorgné par son supérieur comme si on était un plat appétissant. Il avait apparemment plus besoin d'un assistant que d'un repas, car il m'a donné un badge flambant neuf et une arme.
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