La névrose cohabite mal, finalement, avec l’ennui et pas du tout avec l’humour. Quand on s’ennuie, on se laisse exister dans une zone « grise » encore indéfinie, où tout peut arriver finalement – indétermination dont la névrose a horreur et à laquelle elle opposera un emploi du temps sans ennui ni grisaille, un monde en blanc et noir.