Je ne sais pas ce qui me rendait aussi malheureux. J’ai toujours mis ça sur le compte des femmes (ou de l’absence de femmes), mais, quand je regarde en arrière, je m’aperçois que ça ne pouvait pas être aussi simple puisque, mises à part une ou deux flûtistes que j’ai accompagnées au piano de l’école primaire à la troisième, je n’avais jamais fréquenté de femmes. Ce n’était pas non plus le manque d’argent : je n’en avais jamais eu autant.