Quand on quitte un endroit, pour toujours croit-on, on se détourne d'un état des choses et des gens en les vouant à leur perte, à leur finitude ou leur disparition, alors qu'ils demeurent en nous, dans une constance et une fidélité d'être solidaire de la nôtre, plus solides et durables que la brume de neige ou de pixels où nous les avons perdus.