Elle venait de lire le récit de Capucine. Elle avait beau connaître son amie, elle était impressionnée par les ressources que celle-ci trouvait pour affronter tous les à-côtés de la maladie. Capucine avait beau lui écrire que c’étaient ses enfants qui lui donnaient la force, qu’elle n’avait pas le choix si elle ne voulait pas les inquiéter, Sabrina savait bien que son amie était une teigneuse, une battante, et que le crabe n’avait qu’à bien se tenir…