C’était sa vie, autant essayer de s’en accommoder. Elle n’allait quand même pas s’asseoir sur une chaise et pleurer : après tout ce qu’elle avait traversé, il ne manquerait plus que ça ! S’apitoyer sur son sort, ce n’était pas son truc. Accélérant un peu, le chien gambadant à ses côtés, elle se dirigea vers les oiseaux, qui s’envolèrent dans un battement lourd.