L’impuissance de la pensée féminine à éclore dans un espace véritablement neuf n’est que l’effet de sa modestie, ou aliénation fondamentale, c’est pareil, par laquelle elle acquiesce à la trajectoire toute particulière de la pensée virile, comme si cette pensée était en effet ce qu’elle prétend être, universelle, neutre : bref, asexuée