Domagoj apporta à son père, devant la télévision, son habituelle chope de vin coupé, un tiers de vin, deux tiers d’eau gazeuse. Les deux prisonniers, qu’on avait laissés sortir de leur cellier pour leur donner à manger, se tenaient dans un coin de la cuisine. Le silence régnait, car Jozo ne tolérait aucun bruit quand il regardait sa série mexicaine, Ivres d’amour.