Par respect pour les victimes, sans doute, on avait laissé la sécurité intérieure fliquer chaque citoyen puisque c'était l'unique réponse du gouvernement aux attaques des islamistes. L'État faisait quelque chose et on se disait que c'était déjà ça.
Il fallait pourtant sérieusement s'accrocher aux œillères pour ne pas voir que ça basculait.