« Deux millions de Français rêvent d’être publiés, si l’on en croit les sondages parus ces dernières années. La plupart rêvent d’un livre qu’ils n’écriront jamais. […] Tous ces livres fantômes formant une sorte de matière gazeuse qui entoure la littérature comme la couche d’ozone la terre. » (p. 12 &13)