Ainsi, lorsqu’on parle de ce que Raphaël a dû à Michel-Ange, ici encore on ne voit pas ce que cette prétendue redevance offre de réel et de positif. Quand nous admettrions donc en cet endroit, comme nous l’avons admis plus haut, qu’il dut à Michel-Ange d’agrandir sa manière, il n’y a encore moyen d’entendre par là autre chose, sinon que Michel-Ange, par ses ouvrages, aurait été ce noble aiguillon qui, dans tous les genres, a incité les grands hommes à égaler et à surpasser les grands hommes qui les ont précédés.