Elle voit les arbres du parc fleurir, puis se charger de fruits et se défeuiller, elle voit la lumière crue d’hiver et celle braisée des fins d’automne, elle respire à pleine bouche les branches de lierre tombées sous le vent fort, selon les mois, le cours du sang, l’avancée de ses rêves et l’état de sa folie, elle entend le bruit de nos pas dans les couloirs ou de sa respiration parmi les bêtes, au bois de son enfance. Au bois chéri.