En ce matin de novembre, alors que la pluie balaie le jardin des Tuileries sous un ciel de plomb, comme pour pleurer les morts récentes de Francis Girod , Philippe Noiret et Robert Altman, je maraude en librairie, rue de Rivoli, fidèle au précepte de Philippe Djian selon lequel lorsqu'on va mal, c'est le libraire qu'il faut préférer au pharmacien.