Ni les contemporains, ni quelquefois la postérité ne mesurent ces catastrophes qu'une main dure a écartées. Ils ne retiennent que la brutalité du geste sans apercevoir l'efficacité de l'intervention.
Peu de gens recherchent de telles responsabilités, menacées par le désaveu public.
Et pourtant le véritable homme d’État n'est-il pas celui qui les prend? (p.262).