Le cerisier s’est élancé, s’est enroulé, pour s’ouvrir ensuite, frêle et gracieux comme une ballerine.
Ses fleurs roses ont dansé et un bras s’est allongé jusqu’ aux cimes, deux pétales tremblotant comme les ailes d’un moineau.
Celles-ci ont délicatement pris appui sur l’une des fenêtres de la classe des filles de seconde.
(Nouvelle : À l’ombre des jeunes filles en fleurs)