J’ai surpris chez Boris toute une gamme de sentiments qui faisaient de lui un semblable en miniature : envie, élan lyrique, dépression, goût pour l’antipathie sans motif, intérêt, jalousie ! Mais le sentiment dominant qui ne le quittait jamais c’était la peur. Il craignait les êtres humains, les mouches, les ombres.