John a en lui cette énergie qui rend inconfortable ; dans les limites de son corps, c’est un arc trop tendu, il est complexé jusqu’à la crise peut-être, mais la peau est en parpaings. Les gestes gauches qu’il fait, l’impression d’avoir été posé là mais par qui, et pour quoi, il n’a pas demandé, c’est vrai.