Aloys avait doublé sa sixième. Il avait doublé sa cinquième. Il aurait dû doubler sa quatrième mais ses dix-huit ans allaient sonner. Le père avait décrété : il en sait plus qu’assez. Et Aaloys avait pensé : dommage quand même .Je m’amusais bien .Les copains étaient gentils et le programme des études comportait de bonnes choses , les vacances par exemple.