Vatanen se débarrassa de ses vêtements pleins de sueur et se laissa glisser nu dans l'onde fraîche, baigna ses yeux rougis, fit gicler l'eau pure dans sa bouche. Vatanen trouva qu'en comparaison de son pataugeage dans la fumée, cette baignade tranquille dans le ruisseau avait un goût de paradis. Il nagea lentement vers l'amont, le ruisseau serpentait plaisamment. L'eau ruisselait lentement à sa rencontre, un sentiment profond de bonheur envahit le nageur.