Pavel Kovalenko, le conseiller soviétique de la République qui dirigeait le Bureau des opérations spéciales du NKVD en Espagne, avait une réputation d’implacable criminel. On disait de lui, pas vraiment en manière de plaisanterie, qu’il avait fait parmi les républicains plus de victimes à l’arrière que les fascistes n’en comptaient à leur actif sur le front.