Et maintenant, elle était certaine de ce qu'elle avait entrevu au début, quand elle commentait avec Pati O'Farrell les aventures de l'infortuné puis fortuné Edmond Dantès ; qu'il n'y a pas deux livres semblables, parce qu'il n'y a jamais eu deux lecteurs semblables. Et que chaque livre lu est, comme chaque être humain, un livre singulier, une histoire unique et un monde à part.
(p. 230)