On trouve toujours les moyens d'adoucir les catastrophes, les morts, les destructions, pour se blottir entre les murs étroits de la vie quotidienne, mais cela ne sert à rien. La douleur est toujours là, elle persiste. C'est peut-être parce qu'on ne peut pas supporter d'être ce que l'on est. Et parce qu'on veut remplir le temps qui passe sans jamais s'arrêter.