Le printemps éclata comme un cri de joie au-dessus des forêts qui entouraient le château de Mattis.
La neige fondue ruisselait sur les flancs de la montagne, avant de se mêler aux flots de la rivière. Et la rivière, gagnée par toute une ivresse printanière, rugissait, écumait et chantait un hymne endiablé au printemps, dans le tumulte des torrents.