Maëlig parlait tout seul... mais il n’était pas fou. La folie était la première impression qu’il donnait, malgré lui. Donc, sans l’ombre d’un doute, il paraissait cinglé : sa voix changeait de rythme et/ou de timbre passant des aigus aux graves et même parfois, plusieurs voix semblaient se disputer le temps de parole dans un brouhaha interpellant, or il n’était pas plus dérangé qu’un autre.
Il faut pour commencer ne pas omettre que le corps des ascendants possède tellement de nanorobots (un par cellule) que nous ne pouvons plus à nos yeux les qualifier d’humains, la terminologie est erronée. Telles des machines, leurs consciences seraient capables d’être transportées dans d’autres réceptacles.