ELISABETH : […] Son sourire perpétuel m’a rempli l’âme de poison et de ténèbres ! … Ses chiffres m’ont aveuglé l’esprit. Qu’il vive ou meure, je suis incapable d’être autre que… ce que je suis devenue. Le monde est vide pour moi désormais… -Je ne suis ni folle ni malade, mais il me semble que je suis atteinte de cet ennui éternel auquel les femmes comme moi sont condamnées, et qui, tout pesé, ne pardonnera jamais.