Badr Boussabat

Perte totale de temps à mon grand regret. Le livre est un recueil d'anecdotes compilée sur le sujet sans grande profondeur. De plus, le developpement marketing du livre est poussée à l'excès au détriment du contenu qui semble manquer d'expertise. J'ai pourtant acheté ce livre car il m'a été survendu par les publications de l'auteur qui semble être "économiste et politologue" mais ne semble pas avoir une quelconque expérience dans le domaine de l'IA.....

Je ne recommande absolument pas ce livre.

j'ai aimé l'angle éco pour comprendre l'intelligence artificielle , je recomande la lecture du livre qui est plus positif que négatif , quand on lit sur ce sujet. Facile et accessible sauf 1-2 chapitres technique-finance qui demandent de relire une seconde fois .

Marquée par la révolution industrielle et technologique que connaît l’Occident depuis la fin du XXe siècle, notre époque contemporaine a vu émerger un nouveau pouvoir capable de prédire, assister et parfois devancer l’être humain : l’intelligence artificielle.



Dans cet essai plein d’espoir, Badr Boussabat nous propose de bâtir une société d’avenir fondée sur l’intelligence artificielle et garantie par une Charte universelle du « consutoyen », qu’il qualifie de néo-rawlsienne. Cette Charte aura pour but de protéger les populations qui ont été négligées par un système productiviste. À l’ère du capitalisme cognitif gouverné par l’IA, l’information devient la matière première qui, heureusement pour nous, est infinie. C’est la fin d’un mode de production insoutenable et le début d’un développement durable et inclusif. C’est aussi la fin d’un monde où règne une finance en crise. Grâce à la prédiction du risque, cette dernière devra se montrer plus responsable à l’égard de l’économie. L’intelligence artificielle est incontestablement la révolution du troisième millénaire. Contrairement à nos préconceptions, elle nous rendra plus humains et plus libres. Mais surtout, elle éradiquera ces inégalités socio-économiques qui exacerbent les conflits et polarisent nos sociétés. Voilà l’espoir d’un aveni