Loin de l’opposition traditionnelle entre une attitude positiviste où la savoir désenchante (drapée dans le prétendu courage lucide de vivre dans un monde mort d’être objectivé), et une attitude qui renonce au savoir au nom des effets esthétiques et affectifs d’une surnature fantasmée – il s’agit de comprendre que c’est pour mieux savoir qu’il faut enchanter, et c’est parce qu’on sait mieux que l’enchantement advient.