Cette jeune femme n’avait de moi qu’un spermatozoïde égaré, rien d’autre ne nous liait, ni souvenirs, ni tendresse, ni rien de légitime. Elle possédait sans le savoir quelques-uns de mes gènes, je connaissais son existence, ça s’arrêtait là. Je savais que je pouvais demander une reconnaissance en paternité et qu’on me sortirait le grand jeu : ADN et tout le tralala.