Florence Duprés n’a jamais eu un corps aussi beau, même à l’adolescence. Il faut admettre qu’il n’est pas déplaisant de posséder une telle enveloppe. On pourrait même être amenée à l’aimer, à se l’approprier. Recommencer une nouvelle existence, comme si de rien n’était… n’avait été. Elle abaisse vivement le tissu sur son corps sans oser croiser son regard noir et retourne s’affaler sur son matelas, serrant l’ours contre sa poitrine.