Malheureusement, nous sommes mariés sous le régime de la séparation de biens, très chère épouse, et je te rappelle que tu n’avais que tes beaux yeux et tes petites tenues affriolantes à me proposer, à l’époque, lorsque tu as jeté ton dévolu sur moi. Tout ce que tu possèdes aujourd’hui, tu me le dois.